Restaurants dans les Pouilles

N.B. : Restaurants visités en mai 2018

Ceglie Messapica

Trattoria Piaceri e Tradizione

Un mardi midi dans cette petite ville charmante, pas grand chose d’ouvert (le mardi semble être un jour de fermeture classique dans les Pouilles). Nous avons partagé un délicieux antipasto de capocollo (le patron nous en a même servi une deuxième assiette quand il a vu notre appréciation de la chose…), puis j’ai pris une tagliata de filet de boeuf garnie.

cof

Conversano

I Golosi di Ciacco

Hors saison, à midi, dans la petite ville de Conversano presque déserte, nous sommes tombés sur ce lieu qui ne paie pas de mine (ni de l’extérieur ni de l’intérieur) mais qui nous a permis d’apprécier un très agréable repas de midi. En entrée, nous avons partagé un antipasto de charcuterie et fromages fantastique (avec entre autres une mozzarella à tomber par terre), puis nous avons partagé deux pizzas, très bonnes.

Gallipolli

Santa Monaca

Un petit restaurant bien caché dans la vieille ville de Gallipolli (là où a priori on trouve les bistrots les plus touristiques et donc les moins intéressants), une vraie perle. Pour un prix presque dérisoire, j’ai eu un assortiment de poisson cru à damner un saint, puis nous nous sommes partagés un grand fritto misto de poisson et une belle salade bien fraîche, pour ensuite finir avec un spumone. Dix sur dix !

Lecce

Dall’Antiquario

Un restaurant déguisé en magasin d’antiquités, dans la vieille ville, qui fait une bonne cuisine locale. J’ai d’abord pris des orecchiette à la cima di rapa, puis des espèces de fricandeaux aux abats.

Duo Ristorante

Un vrai restaurant gastronomique, une petite merveille. Nous avons pris le menu dégustation « mer », composé ainsi :

  • Amuse-bouches (je mets le pluriel, il y en avait une cohorte, tous plus raffinés les uns que les autres)
  • Huître, gelée marine, caviar de saumon, oursins au pain et amandes
  • Tartare de sériole à la sauce verte, sphérisé
  • Risotto aux  calamars et encre de seiche, aux oursins et à l’or
  • Filet de sériole à la plancha, petits légumes
  • Parfait glacé au citron et aux amandes

Tout, et je dis bien tout, était fabuleux, avec des produits d’une extrême fraîcheur, des assaisonnements qui les mettaient en valeur, des cuissons impeccables, bref, le nirvana du gastronome.

Il Rifugio della Buona Stella

Un petit restaurant sans prétention au coeur de la vielle ville, qui sert des plats locaux très bien faits. J’ai pris des « Ciceri e tria » (pois chiches avec pâtes cuites et pâtes frites), puis des aubergines au Parmesan, le tout excellent.

La Drogheria

Un endroit très sympa hors de la vieille ville, qui fait bar à cocktail et restaurant. Nous avons partagé d’excellentes bruschette à la stracciatella, puis j’ai pris le filet de boeuf au jus de viande accompagné de légumes, excellent. Nous nous sommes enfin partagés une panna cotta au basilic exquise.

Negroamaro

Restaurant d’hôtel assez excentré, qui a une très bonne réputation bien méritée. J’ai d’abord pris du poulpe cuisson lente très savoureux, puis un filet de poisson de mer (je ne me souviens plus lequel) très réussi.

Osteria 203

Petit restaurant juste en dehors de la vieille ville, très bon. Nous avons d’abord partagé une entrée de flan au Parmesan et burrata, puis j’ai pris des pâtes tomate et burrata (comment ça, moi, aimer la burrata ? Quelle idée…).

cof

Martina Franca

Ristorante Garibaldi

Aussi connu sous le nom de Garibaldi Bistrot. Sur la belle grande place de Martina Franca, sous un grand parasol, nous avons profité d’une excellente cuisine de trattoria. En entrée, nous avons partagé une assiette de charcuterie et une assiette de légumes grillés, puis j’ai pris un plat de pâtes aux asperges et à la burrata.

Otranto

Ristorante dal Baffo

Excellent restaurant de fruits de mer. J’ai d’abord eu des pâtes aux oursins délicieuses, puis des crevettes rouges (locales) grillées à se lécher les doigts.

Polignano a Mare

Braceria dello Sport

Une spécialité des Pouilles, on en trouve dans plein d’endroits : une boucherie qui se transforme le soir en restaurant. On va choisir sa viande au comptoir, on demande la cuisson qu’on veut, on commande des accompagnements et des boissons, et voilà ! Celle-là est très bonne, pas chère du tout, à la bonne franquette, et très sympa.

Frà Crudi & Cotti

Même système que la boucherie-restaurant, mais ici pour une poissonnerie. Par contre, celle-ci est assez chic (tout en restant dans des prix très raisonnables). Nous avons d’abord partagé un antipasto misto, puis j’ai pris des pâtes à l’encre de seiche, à la burrata et au tartare de crevettes crues succulentes.

Puro

Une belle surprise dans un pays où les restaurants « exotiques » (c’est à dire de cuisine non italienne) sont rares et souvent mauvais : un restaurant japonais exceptionnel. J’y ai pris d’abord un carpaccio de saumon hyper-frais, puis un assortiment de sushis à damner un saint, et enfin une glace au gingembre. Cela faisait très longtemps que je n’avais pas mangé des sushis de cette qualité-là, et ils étaient de plus légèrement et délicieusement assaisonnés (ou aromatisés plutôt, chacun différemment), la perfection.

Trattoria Dal Monaco

Restaurant à poissons de bonne facture. J’ai d’abord pris une assiette de fruits de mer crus, puis des pâtes aux fruits de mer, le tout excellent.

Trani

Quintessenza

Le Guide du Routard l’indiquait comme « bon restaurant », quand nous sommes arrivés nous avons vu qu’il avait une étoile au Michelin… Qu’à cela ne tienne, nous en avons profité ! Superbe repas de cuisine italienne moderniste, sommelier passionné de son métier, nous n’avons pas regretté ! J’ai commencé par un ceviche de mérou aux agretti (légume acidulé appelé « soude » en français, aussi connu sous le nom de barba di frate) et au yuzu, puis j’ai pris un savoureux filet de maquereau à la tomate verte, au chèvre frais et au citron.