Festival estival

Samedi soir, nous avons été entendre Hoshi et Julien Clerc au festival Venoge (j’aurais bien entendu Calogero, qui passait le même jour, mais à 1 heure du matin, je n’ai pas eu le courage…), et j’ai soupé d’une tartine de tartare japonais de La Collégiale.

Dimanche midi, nous sommes allés en excursion près de Lucerne pour aller chercher un meuble. En chemin, nous nous sommes arrêtés au restaurant Brücke, à Kirchberg. J’ai pris une salade verte en entrée, puis un excellent plat de morue et langoustine grillées aux légumes (désolée pour le rouge de la tente qui a saigné sur les photos…).

Dimanche soir, j’ai préparé un rapicolant carpaccio de courgettes à l’ail et au gingembre, que j’ai présenté avec du Tartare aux herbes sauvages (c’est curieux comme certains fromages industriels, comme justement le Tartare, mais aussi le Boursault et le Boursin, peuvent être bons) et de la saucisse polonaise de chasseur.

Lundi soir, j’ai fait une quiche lorraine et une salade verte.

Mardi soir, j’ai rôti des cuisses de poulet marinées à la colombienne et les ai servies avec une salade de pastèque pimentée.

Mercredi soir, j’ai préparé un ceviche de cabillaud au lait de coco, accompagné d’une salade d’avocats antillaise et de chips de houmous. Deux excellentes recettes, que je retiens !

Jeudi soir, j’ai présenté des charcuteries diverses, accompagnées d’une belle salade d’aubergines, poivrons et citron confit.

Vendredi soir, nous avons mangé au Restaurant Anne-Sophie Pic au Beau-Rivage Palace. Soirée idyllique sur la belle terrasse surplombant le parc, service parfait sans être guindé, et des goûts subtils et parfaitement équilibrés. Désolée, certaines photos sont vraiment mauvaises, sur le moment j’avais l’impression que la lumière était suffisante et ce n’était pas le cas..

Semaine ensoleillée et petit tour au Piémont

Samedi soir, j’ai fait des tranches de porc marinées (dans un mélange de moutarde, jus de citron, huile d’olive et origan séché) poêlées et une salade de mesclun.

Dimanche midi, nous avons mangé pour la troisième fois au Floris, sur la somptueuse terrasse qui procure une vue inégalée sur le Léman. La première fois, c’était avec le cuisinier qui l’a tenu environ 25 ans, Claude Legras, et j’avais adoré (j’avais choisi des quenelles de brochet à la bisque, et je n’ai jamais mangé des quenelles aussi fabuleuses de ma vie, j’en rêve encore). La deuxième fois, c’était sous le court règne de Jean-Edern Hustel, qui ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable (carte un peu trop hipster à mon goût, et cuisine bonne mais sans relief particulier). Et voici la troisième fois, très appréciée ! En entrée, j’ai choisi des semilleros, soit du saumon cru au coulis de poivrons rouges absolument exquis, puis en plat, une côte de veau fermière en croûte de roquette, succulente. A noter que le chef a l’air d’adorer les pommes de terre, qui figurent, sous une forme ou une autre, en accompagnement de tous les plats, mais que je n’ai eu aucun problème à obtenir un légume (laitues braisées, j’ai choisi parmi une série d’accompagnements proposés) à la place. Il a quand même réussi à glisser une lichette de purée de pommes de terre sur l’assiette… Je ne mange presque plus de desserts, mais le baba aux agrumes m’a tentée – j’ai eu tort, il était très bon mais je n’ai plus l’habitude de tant de sucre et je n’apprécie plus vraiment ce genre de chose.

Dimanche soir, j’ai servi des très agréables pâtes au citron et haricots verts.

Lundi soir, j’ai concocté un sauté de veau d’inspiration Asie de l’Est, escorté d’une salade de tomate à la coriandre et citron vert. Je dois l’avoir dit ailleurs sur ce blog, mais je m’en tiens, pour les salades de tomates, à un principe simple qui fonctionne très bien, c’est de les assaisonner soit à l’huile d’olive, soit au citron ou vinaigre, mais de ne jamais mélanger les deux – la variante à l’huile donne un résultat fruité et méditerranéen, la variante au citron est punchy et plutôt asiatique, ce sont des variations agréables.

Mardi soir, nous avons mangé dans un nouveau restaurant italien, La Sosta (qui a remplacé l’ancienne pizzeria Napoli vers la Blécherette, pour ceux à qui cela dit quelque chose). Malheureusement, le cuisinier étant absent, la carte était très restreinte, mais nous avons tout de même très bien mangé, et le service est vraiment très sympathique. J’ai d’abord pris un carpaccio de boeuf au Parmesan en entrée (belle portion, presque trop !), puis j’ai dégusté un excellent fritto misto de crevettes, calamars, moscardini et légumes (demandé, et facilement obtenu, sans frites). J’ai goûté les pizzas dans l’assiette de mes comparses, excellentes, avec une belle pâte épaisse mais aérée, et très joliment garnies.

Mercredi soir, j’ai fait un excellent ceviche de cabillaud à l’avocat (la cuillère à soupe de yaourt grec de la recette m’a interpellée, mais ça fonctionne, on ne la sent pas en tant que telle mais elle apporte du moelleux), escorté d’une salade verte.

Jeudi soir, j’ai fait une recette turque, un kuru fasulye au pastrami et sujuk, terriblement addictif.

Vendredi matin, nous sommes partis faire une petite excursion au Piémont avec des amis. Vendredi soir, nous avons donc mangé à Pollenzo, aux Scuderie Sabaude. Repas très classique, d’excellente facture, dans un cadre exceptionnel.

Du piment dans le quotidien

Devinette : qu’ont en commun les bananes, les joues de bœuf et le piment ? Réponse : ce sont trois aliments que mon fils cadet n’aime pas, et que j’ai donc profité de mettre au menu, vu son absence cette semaine…

Samedi soir, j’ai mitonné une belle soupe bien réconfortante, avec toute la neige qui est tombée ce jour-là c’était parfait : une harira.

Dimanche midi, j’ai testé une recette curieuse trouvée sur Marmiton : des fondants de bananes au chèvre. Ca se laisse agréablement manger, c’est facile à faire, bref, parfait pour un dimanche midi post-grasse matinée !

Dimanche soir, j’ai cuisiné des joues de bœuf au miso. Elles ont cuit toute l’après-midi, et j’ai juste eu les finitions à faire en début de soirée. Je les ai servies avec du riz parfumé.

Lundi soir, nous avons profité de notre état de pauvres parents abandonnés (notre aîné étant de sortie) pour aller nous régaler au Chat Noir. J’ai pris un excellent croustillant de tourteau sur un lit de céleri (comme une rémoulade modernisée) puis leur incontournable et sublime parmentier de queue de bœuf au foie gras. Nous avons bu un Bandol rouge Lafran-Veyrolles 2010 absolument excellent (même si la région de Bandol est surtout connue pour ses rosés, je dois avouer un amour tout particulier pour ses rouges).

2015-02-23 20.32.15Mardi soir, j’ai fait griller des merguez (au four, ce qui évite d’éclabousser toute la cuisine avec des projections de graisse), que j’ai servies avec une purée de patates douces et des bok choi sautés à l’ail.

Mercredi soir, j’ai préparé un ceviche péruvien de poisson. C’était bon, frais et léger, mais il manquait un je ne sais quoi, quelque chose que je qualifierais, faute de mieux, de profondeur de goût. Si vous, chère lectrice, cher lecteur, savez quoi, je serai ravie de vous lire !

Jeudi soir, j’ai fait un plat traditionnel sénégalais que j’affectionne : du poulet yassa que j’ai accompagné de riz basmati. C’était délicieux.

Vendredi soir, nous avons testé un nouveau restaurant italien à Lausanne, le Ristorante Amici (qui a remplacé le Café des Amis). C’est une émanation du Ristorante saint-Paul, avec une carte différente, plus orientée vers les pâtes (mais des pâtes maison très travaillées). Nous nous sommes partagés un grand « antipasto mediterraneo » délicieux (charcuteries, caponata, salade de poulpe, anchois marinés, etc.), puis j’ai pris la suggestion du jour, des pâtes aux vongole et aux moules absolument exquises. Le service est charmant et chaleureux malgré l’affluence (méritée), ce n’est pas loin de chez nous et nous y retournerons !