Le boeuf en vedette

Tout à fait par hasard, presque tous les menus de cette semaine, au restaurant ou à la maison, ont tourné autour du boeuf. Bon, il y a quand même un soir végétarien, histoire de faire une pause !

Samedi soir, nous avons fait un excellent repas au Guanaco à Morges. Nous avons trouvé que c’était encore meilleur qu’avant (nous y étions déjà allés deux ou trois fois), avec des goûts plus fins et des cuissons superbement maîtrisées. J’ai dîné de deux entrées successives : un tiradito de saumon à tomber, et des anticuchos de boeuf fabuleux.

Dimanche midi, j’ai fait des menemen (une version plus sophistiquée des oeufs brouillés aux oignons et tomates que je faisais quand j’avais 13 ans) avec une salade de mâche.

Dimanche soir, j’ai fait une recette qui semble être un classique de la cuisine italo-américaine, du poulet scarpariello. C’est vraiment délicieux, je ne peux que recommander la recette (que j’ai faite en grande quantité, histoire d’avoir des restes pour midi). Comme d’habitude, je n’ai pas mis le sucre… Je l’ai servi avec des haricots borlotti à la sauge.

Lundi soir, j’ai poêlé des steaks et les ai accompagnés d’une fausse béarnaise franchement pas mal (la mayonnaise de base était faite maison, suis-je excusée ?) et d’une salade verte.

Mardi soir, nous avons fait un bon repas classique au Petit Boeuf à Lausanne. Mon homme et moi avons pris le tartare Natacha (qui est un tartare flambé à prendre à deux) bien assaisonné, et servi avec d’excellentes frites (que j’ai pour une fois mangées, c’est vous dire si elles étaient bonnes).

Mercredi soir, j’ai préparé une salade tiède de légumes à la ricotta très plaisante. Comme je n’aime ni les choux de bruxelles ni le panais, je les ai remplacés par du taro et du céleri-boule. Et comme le chou noir est une sorte de kale et que j’adore ça, c’est ce que j’ai utilisé.

Jeudi soir, après un spectacle, nous sommes retournés au Lily Bar, qui est décidément bien sympathique (j’en avais parlé dans cet article). Nous avons bu d’excellents cocktails, et partagé une planchette de charcuteries fort bien sélectionnées et un Vacherin Mont d’Or au four bien plaisant. L’accueil est chaleureux, le service efficace, les cocktails parfaits, la musique bien choisie et agréable (et pourtant je ne suis pas une fan de musique dans les restaus d’habitude), la nourriture délicieuse, bref, que demande le peuple !

Vendredi soir, nous avions des invités. J’ai préparé un repas coréen : en apéro, un cocktail makgeolli-soju. En entrée, des crêpes à la ciboule chinoise. En plat principal, des short ribs de boeuf (excellente recette, je recommande tout particulièrement). J’ai accompagné le plat principal de riz, d’épinards à la coréenne (pour lesquels j’utilise des épinards surgelés), de pickles de carottes et radis blanc, de kimchi de chou et de kimchi de feuilles de moutarde. En dessert, j’ai servi un panettone aux marrons glacés (acheté, je ne suis pas une grande pâtissière). Et pour une fois, je n’ai pas oublié les photos !

Décembre gourmand

Samedi soir, nous étions à Lenzburg, au restaurant Skin’s, pour lequel nous avions acquis un bon Qoqa. Nous avons dégusté un menu ainsi composé :

C’était délicieux, des goûts très fins et des préparations légères et aériennes, avec une mention spéciale pour le chevreuil, d’une tendreté incroyable et superbement bien épicé. C’est peut-être un peu loin pour faire un repas certes délicieux mais pas si exceptionnel que ça en regard de la brochette d’excellents restaurants de la région Lausannoise, mais c’était dépaysant et très réussi.

Dimanche à midi, comme nous rentrions de Lenzburg en train, nous nous sommes arrêtés à Berne et avons mangé dans un restaurant que nous aimons bien, Zum Aüsseren Stand. J’ai d’abord dégusté une très agréable salade de mâche à l’oeuf parfait et à la courge, puis une escalope panée avec des légumes (en petite portion, fort heureusement, elle était déjà bien belle !). Si la photo montre des frites, c’est que c’est l’assiette de mon homme…

Dimanche soir, j’ai mijoté, sans recette, une soupe au chou frisé, au jambon fumé et aux haricots blancs.

Lundi soir, nous avons mangé une fondue (ramenée de notre petit séjour à Stans).

Mardi soir, nous avions un spectacle à Montreux, et nous en avons profité pour retourner dans un endroit que nous avions bien apprécié il y a quelques années, le 45 Grill & Health. J’ai pris une exquise pluma de porc (superbe cuisson, légèrement croustillante à l’extérieur et incomparablement moelleuse) servie avec un très bon beurre au Whisky fumé et une très fraîche salade de mesclun malheureusement un chouïa trop vinaigrée.

Mercredi soir, j’ai fait un magret de canard en cuisson lente, que j’ai arrosé d’une sauce à l’orange très simple (échalotes, zeste et jus d’une orange, un peu de fonds de volaille, et du cognac) et accompagné de tranches de céleri-rave rôties à la poêle.

Jeudi soir, nous avons mangé avec des amis au Restaurant du Chasseur, à Allaman. Depuis plus de 15 ans que nous y alons, c’est toujours un grand plaisir que d’y déguster leur belle cuisine franco-argentine, dans un décor classique et chaleureux et avec une gentillesse et efficacité du service qui ne se démentent pas. J’ai d’abord choisi un exquis tartare d’huîtres et de coquilles Saint-Jacques à l’hibiscus, puis une assiette de bavette et bas de côte grillés aux épices fantastique.

Vendredi soir, j’ai préparé une salade tiède de kale et champignons au chèvre frais très savoureuse.

Que des bonnes choses !

Samedi soir, nous avons testé le remplaçant du défunt Zafferano (que nous aimions bien, snif), le Crazy Kitchen Steakhouse qui, comme son nom l’indique, est un restaurant à viande. Nous avons pris tout d’abord des salades vertes, puis la côte de boeuf pour deux, excellente, très bien cuite, et accompagnée de légumes exquis. Comme il y avait peu de légumes, nous avons demandé si nous pouvions en avoir plus, ce qui nous a été accordé avec le sourire, et nous avons rapidement vu apparaître une belle portion de légumes sur notre table (sans supplément de prix !).

Dimanche midi, j’ai fait une salade de chou noir (un peu à l’avance et en la massant bien avec la vinaigrette, c’est délicieux) accompagnée de charcuteries diverses.

Dimanche soir, j’ai préparé d’excellentes moules (de bouchot) au curry, en suivant à peu près cette recette (sauf que je me suis facilité la vie, je n’ai pas filtré puis remis la sauce, j’ai simplement prélevé une louche de jus, mélangé avec la crème et le curry, remis le tout dans la casserole et touillé). C’est vraiment mon assaisonnement préféré pour les moules ! Je les ai escortées de frites de taro (à la friteuse sans huile).

Lundi soir, j’ai fait du tout simple et délicieux : ris de veau poêlé (pas besoin de sauce, je n’aime pas étouffer le goût délicat du ris de veau) et salade de céleri-branche.

Mardi soir, nous avons suivi la recommandation de Sonia du blog Quand c’est qu’on mange et, après un spectacle, testé le tout nouveau Lily Bar. Verdict : on a adoré ! L’endroit est agréable, l’accueil charmant, on peut y arriver jusque tard le soir (à vue de nez, 23h30 en semaine, plus tard encore en fin de semaine) et on y mange très bien. Nous avons partagé une planchette de tapas végétariennes, une coupe de stracciatella aux tomates confites et une portion de calamars frits, c’était délicieux ! Mention spéciale pour le cocktail du mois, le « Bergamote en folie », exquis.

Mercredi soir, après un petit apéro-calèche avec des amis au Bô Noël, nous avons incroyablement bien mangé au Chat Noir (quand on sort en se disant que vraiment, il faut y aller plus souvent, c’est un signe…). J’ai d’abord choisi des coquilles Saint-Jacques à la grenobloise savoureuses, et ensuite de la palombe sur canapé qui était absolument divine (la volaille sur canapé est une grande spécialité de la cuisine française à l’ancienne que l’on trouve malheureusement très rarement à la carte des restaurants actuellement). Si on ajoute que le service était délicieux et que le décor n’a pas changé depuis, je pense, l’ouverture du restaurant au début du 20ème (tout en étant rafraîchi et pimpant), vous comprendrez pourquoi il faut absolument y aller !

Jeudi soir, nous avions notre traditionnelle soirée de Noël d’entreprise.

Vendredi soir, j’ai mijoté un bortsch, avec ma recette préférée, toujours aussi bonne (et blindée de légumes).

Grisaille de novembre

Samedi soir, j’ai fêté l’arrivée à maturité du kimchi que j’avais fait il y a 2 semaines (avec cette recette) en faisant du kimchi jjigae, mon plat coréen préféré. Je l’ai accompagné de riz noir venere.

Dimanche à midi, nous avions un repas de famille.

Dimanche soir, du coup, j’ai fait léger : salade de mâche à la kielbasa krakowska et aux oeufs durs.

Lundi soir, j’ai fait des mafaldine au lard et à la sauce tomate, parsemées de peperoni cruschi.

Mardi soir, nous avons mangé à l’Aia Pinsa. L’endroit est surprenant, en pleine zone industrielle d’Ecublens, mais c’est délicieux. J’ai pris une tranche de pinsa fet’aia (feta, tomates confites, friarielli, fior di latte, huile légèrement mentholée) et une tranche de pinsa Mortadella (mortadelle, stracchino, fior di latte, pistaches, mesclun), les deux aérées et croquantes, avec des garnitures pas trop compliquées mais savoureuses, faites d’ingrédients de qualité. L’ambiance étant minimaliste (c’est entre le take-away et le restaurant), après avoir mangé, nous avons fini la soirée en buvant un verre chez nous.

Mercredi soir, j’ai préparé un minestrone à l’ail des ours, en utilisant du pesto d’ail des ours que j’avais fait et mis au congélateur au printemps et en ajoutant du chou noir à la recette. C’était excellent.

Jeudi soir, nous avons mangé une fondue à Bô Noël, c’était sympa (mais elle était moins bonne que celle que je prépare à la maison avec le mélange acheté au marché chez Duttweiler).

Vendredi soir, nous avons mangé avec des amis à la Brasserie du Grand-Chêne. J’ai profité du banc de l’écailler qu’ils ont tout l’hiver et partagé un plateau de fruits de mer avec des amis. Ah, je regrette parfois de ne pas habiter en bord de mer… (si vous regardez bien la photo, vous verrez ma main qui attrape un oursin impatiemment !).

Agapes polonaises

Samedi soir, nous étions de retour de nos vacances en Pologne (à Varsovie et Cracovie, pour être exacte). Comme nous avions bien mangé à midi (avant de prendre l’avion du retour), j’ai tout bêtement fait des spaghettis aglio olio peperoncino.

Dimanche midi, j’ai été piocher dans mon congélateur du civet de chevreuil au chou rouge que j’avais préparé l’hiver passé, excellent ma foi.

Dimanche soir, j’ai poêlé des côtes de veau et les ai accompagnées d’une salade polonaise dont j’avais vu la recette en feuilletant un livre dans le restaurant du samedi midi : une salade de poireaux crus bonne et vite faite, à ajouter au registre des salades d’hiver à refaire.

J’ai ramené de Pologne pas mal de charcuteries, ainsi qu’un peu de fromage. Lundi soir, j’ai sorti un morceau de sanglier fumé, des petites kabanos (saucisse fines type gendarme), et un morceau d’une excellente tomme de chèvre au fenugrec, le tout escorté d’une salade de rampon.

Mardi soir, j’ai testé la buttertiflette, à savoir la tartiflette dans laquelle on remplace la pomme de terre par de la courge butternut. Verdict : délicieux ! A refaire, ça c’est sûr ! C’est aussi bon, voire plus, que la tartiflette. Bon, je vous dis tout de suite, j’ai mis bien plus de reblochon qu’indiqué (un quart de reblochon pour 4 personnes, c’était misérable).

Mercredi soir, avec des amis, nous avons testé un tout nouveau restaurant lausannois, le Beef’Or, spécialisé dans la viande rouge. J’ai pris un chuck tail flap australien d’une tendreté exceptionnelle, très savoureux, avec une béarnaise (visiblement faite au siphon) bonne mais un peu trop fluide et une excellente garniture d’oignon caramélisé, noix de pécan et Xeres. Nous avons ensuite partagé un excellent et très original dessert intitulé « L’olive », composé de caramel d’olive, pignon, glace mascarpone à l’huile d’olive et mousse au séré.

Jeudi soir, comme j’avais des Kiełbasa biała (saucisses blanches polonaises), j’ai fait du żurek, c’est-à dire une soupe-repas à base de farine de seigle fermentée (j’avais mis à fermenter la farine dès dimanche). Elle était délicieuse.

Vendredi soir, nous avons mangé dans le sud de la France, chez l’ami avec qui nous sommes allés passer le weekend.

Repas improvisés

Comme j’étais en vacances la semaine passée, cet article relate les repas de la semaine précédente, encore très estivale.

Le samedi soir, ayant très bien (et beaucoup) mangé à midi (repas chasse dans le Train des Saveurs, confectionné par le cuisinier de l’excellent restaurant Aux 2 Sapins à Montricher), j’ai simplement fait des pâtes avec une sauce ajvar-sauce tomate-Chavroux, très agréable.

Dimanche midi, j’ai confectionné (sans recette) une excellente salade de lentilles au haddock (avec une bonne vinaigrette, des échalotes et plein de ciboulette de mon jardin).

Dimanche soir, j’ai poêlé des côtes d’agneau (préalablement marinées dans un mélange Mastiha-romarin-citron-huile d’olive) et les ai servies avec des fèves (surgelées, Picard n’est plus en Suisse mais heureusement Thiriet en vend).

Lundi soir, repas rapide : ojja et haricots verts. La recette est étonnante, simple à faire et, sans être immortel, c’est bon.

Mardi soir, nous étions à une soirée avec cocktail dînatoire.

Mercredi soir, j’ai fait du boeuf mariné et grillé à la vietnamienne (que j’ai mis à mariner le matin avant de partir au travail), frais et savoureux.

Jeudi soir, après le théâtre, nous avons à nouveau mangé à Plan B (dont je parle dans cet article). Repas très agréable à 22h30, j’ai dégusté une excellente focaccia « Côte d’Azur » (mozzarella de buffle, jambon cru, roquette) (désolée, la photo est toute rose, vu la lumière qui régnait dans le restaurant).

Vendredi soir, j’ai fait une salade de moscardinis, patate douce, salade verte, oignons frais et coriandre.

La tiédeur de l’automne

Samedi soir, un peu de simplicité bienvenue après tous ces restaurants : une simple raclette, avec des tranches de champignon Portobello et des mini-poireaux que nous avons fait griller sur la plaque du four à raclette.

Dimanche midi, j’ai utilisé une recette d’espadon à la salsa d’avocat, mais en remplaçant l’espadon par des filets de sardine que j’ai grillés au four. Très léger et savoureux. J’ai juste fait une petite salade verte en accompagnement.

Dimanche soir, j’ai fait une brandade de morue en remplaçant la purée de pommes de terre par de la purée de haricots borlotti frais. C’était parfait.

Lundi soir, j’ai préparé une salade de poulet au maïs, à l’avocat et au miso (dans laquelle j’ai ajouté des feuilles de sucrine) très goûteuse. J’étais super-pressée, donc je n’ai pas cuit le poulet comme indiqué. J’ai cuit mes deux blancs de poulet à l’eau additionnée de gingembre et de jus de citron, et c’était impeccable.

Mardi soir, j’ai fait une causa péruvienne (au thon cette fois), c’est toujours bon.

Mercredi soir, nous avons pris part à une soirée argentine organisée par Qoqa, qui offrait le menu suivant :

  • Amuse-bouche : chipa, sauce tomates rôties
  • Entrées : empanadas avec sauce LLajua (viande de boeuf, poivrons, oignons et olives vertes, et Humita, c’est à dire maïs râpé, oignons nouveaux et tomme), et ceviche de dorade, leche de tigre, oignons rouges, patates douces, chili, coriandre.
  • Plats principaux : entrecôte « Black Angus » d’Argentine, et Vacio de Cerdo (découpe typique du flanc de porc).
  • Sauces: Chimichurri, sauce épicée Tatemada, Criolla.
  • Accompagnements:  pommes de terre rôties (au sel de paprika), carpaccio de betteraves (avec fromage, orange sanguine et oignons rouges), tomates (avec anchois, câpres, oignons rouges et basilic)
  • Dessert : panqueque avec dulce de leche et glace à la banane

C’était délicieux, avec un seul tout petit bémol, à savoir l’entrecôte juste pas assez saignante à mon goût.

Jeudi soir, j’ai cuisiné du porc au kimchi que j’ai servi avec du riz venere. Un seul mot : miam !

Vendredi soir, nous avons mangé à la Brasserie Millenium. J’ai d’abord pris leur fameux pâté en croûte (spécialité du chef, excellent, mais j’aurais apprécié un chouïa de salade verte avec), puis la quenelle de brochet aux écrevisses. Elle était délicieuse, la sauce aussi, mais malheureusement grillée à l’extérieur – j’aurais préféré qu’elle ait partout cette texture très fondante fantastique qu’elle avait à l’intérieur.

Légumes d’été

La semaine passée j’étais en vacances, je vous parle donc ici de la semaine d’avant.

Samedi soir, j’ai fait léger, puisque nous avions eu une fête de famille avec gros repas à midi : des spaghettis à la tomate crue, une merveilleuse recette de plein été (elle est vers la fin de ma page sur la cuisine rapide).

Dimanche midi, nous étions invités chez des amis.

Dimanche soir, comme, à nouveau, nous avions beaucoup mangé à midi, j’ai fait des toutes légères croquettes de courgettes au tzatziki (comme je n’ai pas une passion pour l’aneth, je l’ai omis, et comme mon homme n’aime pas les concombres, j’ai fait le tzatziki sans). J’en ai mangé le reste froid le lendemain à midi, c’était délicieux.

Lundi soir, j’ai fait une grand salade mélangée : roquette, poulet, avocat, tomates.

Mardi soir, j’ai fait une salade d’épeautre en y ajoutant de la mozzarella, des tomates cerises, des courgettes crues et une sauce à base de pesto (additionné de jus de citron et d’huile d’olive). Je l’ai servie avec en accompagnement de l’excellent chorizo ramené d’Espagne.

Mercredi soir, j’ai cuisiné une excellente chakchouka aux merguez.

Jeudi soir, j’ai mariné des belles côtes de porc dans un mélange de jus de citron, limoncello, huile d’olive, romarin frais haché et ail râpé (plus sel et poivre) environ 2 heures, les ai poêlées et servies avec une salade « fond de compartiment à légumes du frigo » : céleri-branche, roquette, fenouil, oignon frais.

Vendredi soir, nous avons mangé au Guanaco avec des amis. J’ai choisi un ceviche clasico en entrée, puis mon homme et moi avons partagé un poisson amazonico servi avec des frites de manioc (bonnes mais celles de la Parada dont je parle dans cet article sont incomparablement meilleures). Nous y avons très bien mangé. Toutefois, malgré la gentillesse de l’accueil, je n’ai pas apprécié le fait qu’on nous ait fait choisir entre deux service, pour après, alors que nous avions choisi le deuxième service à 21h, nous presser pour les desserts car la cuisine fermait à 22h. Il faut s’assumer, que diable : soit on nous laisse choisir l’heure d’arrivée, soit on nous laisse manger tranquillement après être arrivés à l’heure imposée.

Quatre salades et une soupe

Samedi soir, nous avons fait un excellent repas au restaurant de l’hôtel des Trois Couronnes, Le 3C. La terrasse est sublime, vraiment !

En entrée, j’ai choisi un « crudo de maigre de Méditerranée au concombre, coulis myrtille et écume de framboises » frais et délicat, et en plat j’ai demandé (et on m’a accordé sans l’ombre d’un problème) de pouvoir déguster une entrée en grande portion, à savoir le « bœuf suisse mariné aux herbes de l’arc alpin, cacahuètes torréfiées et oignons frits » un peu trop huilé mais néanmoins délectable. J’ai pris une jolie assiette de fromages pour terminer.

Dimanche midi, nous avons mangé avec un ami au Blabla, à Vevey. Ambiance sympa, jolie terrasse (dont nous n’avons pas pu profiter, vu le temps qu’il faisait), nourriture agréable. J’ai d’abord pris un carpaccio d’artichaut (j’espérais des petits artichauts crus, il s’agissait en fait de fond d’artichaut cuit, un peu trop huilé mais agréable), puis du vitello tonnato très bien fait.

Dimanche soir, j’ai fait une soupe de haricots borlotti frais au lard et à la tomate qui s’accordait parfaitement avec le temps frais et pluvieux.

Lundi soir, nous avons mangé avec des amis au restaurant Obeirut. En réservant, je n’avais absolument pas réalisé que le cuisinier, Alan Geaam, est aussi celui du Lémantine où nous sommes allés la semaine passée, avec la différence qu’au Lémantine il propose du « libanais fusion » très travaillé, tandis qu’au Obeirut on mange une cuisine libanaise traditionnelle. Ceci dit, c’était excellent, et c’était intéressant de comparer. Nous avons partagé 11 mezzés (choisis à la pièce).

Mardi soir, ayant des invités impromptus (qui ont amené l’entrée, le dessert et du vin, ils reviennent quand ils veulent 😎), j’ai servi un plateau de charcuteries et de fromages accompagné d’une grande salade de roquette, courgettes et oignons frais avec une sauce à l’avocat.

Mercredi soir, j’ai fait une salade de riz (qui contenait du poulet, des tomates, des courgettes crues, du thon, de l’oignon frais et du basilic) assaisonnée à l’italienne, c’est à dire avec une sauce faite de ricotta mixée avec du jus de citron et de l’huile d’olive.

Jeudi soir, j’ai fait une egg salad à l’américaine (sans le pain), accompagnée de salade verte. C’est pas léger léger, mais de temps en temps, en utilisant une bonne mayonnaise maison, c’est délicieux.

Vendredi soir, j’ai fait un tartare de daurade à la nectarine et à l’avocat, avec une salade de pousses d’épinards.

Improvisations estivales

Comme nous étions à Evian le weekend, j’y ai fait mes courses et ai improvisé tout au long de la semaine avec ce que j’avais acheté.

Samedi soir, nous étions donc à Evian et avons mangé au restaurant la Véranda, qui est un des restaurants de l’hôtel Royal Evian. J’ai d’abord pris un ceviche de daurade très bien assaisonné, puis du dos de maigre au fenouil succulent (avec une peau bien croustillante, miam !), et enfin, une sorte de panna cotta à l’abricot rôti et au romarin bien trop abondante mais exquise.

Dimanche midi, après avoir fait des courses (à la boucherie Bénet à Evian, qui a une viande incomparable, puis au Grand Frais de Thonon, dont la qualité des produits m’a époustouflée), nous avons déjeuné sur la charmante terrasse de l’Auberge d’Hermance. En entrée, j’ai dégusté une assiette « La Tomate dans tous ses états / Sorbet tomates ananas / Gaspacho » exquise, puis j’ai choisi du « Filet de Maigre snacké à la plancha / Artichauts / Epinards / Pak choï / Sauce crème citronnée » non moins délectable (et que j’ai complètement oublié de photographier). Tout cela est vraiment cher, mais c’est très bon (la carte des vins, en particulier, a des prix nettement exagérés).

Dimanche soir, j’ai poêlé des tranches d’onglet et les ai servies avec des petits poivrons poêlés et une salade verte.

Lundi soir, j’ai poêlé des tranches de gigot d’agneau (que j’avais, la veille au soir, enduites d’herbes et d’huile d’olive) et les ai escortées d’une salade de tomates aux oignons frais.

Mardi soir, j’ai poêlé (c’est décidément une semaine « poêle ») des côtes de veau et les ai finies dans une délicieuse sauce aux morilles achetée à l’Epicerie de Châteauvieux il y a quelques semaines. Je les ai servies avec des shiitakés (poêlés eux aussi) et du quinoa.

Mercredi soir, nous avons fait un grand repas fromage avec des amis. En tout, j’ai compté, nous avions 18 fromages ! J’avais préparé des bâtonnets de céleri-branche, des pêches, des abricots, des pommes et des noisettes fraîches pour accompagner tout ça, plus, évidemment, le sublime pain de la géniale boulangerie Grin, que nous avons la chance d’avoir comme boulangerie de quartier. Une tarte aux pommes en dessert, et ce fut un beau repas !

Jeudi soir, j’ai préparé une salade de haddock à l’avocat et au céleri-branche, en retravaillant cette recette.

Vendredi soir, j’ai fait des spaghettis aux crevettes géantes, sans recette.