Nous avons passé un long weekend à Edimbourg. Petite confession : j’y avais déjà été, en… 1977 ! C’était l’année de mon bac, et ma mère m’avait envoyée chez une de ses amies qui y habitait, afin que je perfectionne mon anglais. J’ai effectivement beaucoup amélioré mon anglais oral, je suis devenue moi aussi amie avec celle qui m’accueillait, j’ai trouvé le séjour très sympa et… je n’ai aucun souvenir de la ville ! Il était donc grand temps d’y retourner.
Avant de partir, j’avais fait mes devoirs, me basant sur la liste de TimeOut. Nous sommes arrivés le samedi, et le soir-même, j’avais réservé chez Leftfield. Le restaurant est ravissant, très cosy mais moderne en même temps, situé au coin d’un de ces parcs carrés qui peuplent la ville.


Nous y avons extrêmement bien mangé, une cuisine créative faite avec des produits locaux – les huîtres (écossaises) que j’ai prises en entrée étaient vraiment phénoménales, par exemple ! J’ai ensuite choisi du poulpe aux poivrons, concombres et pommes de terre succulent. Nous nous sommes partagés, en même temps que le plat principal, des délicieux brocolis grillés, puis des framboises à la crème en dessert.




Dimanche midi, en sortant de visiter le château, nous avons dégusté le menu « Light lunch » du très select Witchery. C’était délicieux, à un prix très raisonnable (le reste de la carte étant, lui, bien plus coûteux…). J’ai choisi le saumon fumé avec blini en entrée, puis un steak d’une qualité remarquable, accompagné d’une demi-tomate grillée et d’une petite crème au persil.


Le dimanche soir, nous avons fait un repas véritablement gastronomique chez Aizle, dans un joli cadre de bistrot hipster à l’éclairage très réussi.

Le menu était présenté sous forme d’une liste d’ingrédients :

Et voici ce que nous avons dégusté. Absolument chaque plat était époustouflant. Et je peux entre autres vous affirmer que j’ai mangé là le meilleur agneau de ma vie !












Lundi soir, nous avons changé de style et fait un excellent repas thaïlandais chez Dusit. Nous avons d’abord partagé une salade de boeuf « Tigre qui pleure » et un « loving couple », à savoir des crevettes et coquilles saint-Jacques grillées avec une sauce à réveiller un mort, puis un Kua Kling (poulet au curry sec bien pimenté) et un « canard Bangkok » (noix de cajou et sauce soja) accompagnés d’un riz parfumé au lait de coco (désolée pour les photos bleuâtres, la lumière du restaurant a provoqué cet effet…).




Mardi soir, nous étions de retour dans nos pénates, et après tous ces bons repas, j’ai fait simple : des pâtes au pesto.
Mercredi soir, comme nous avions des restes conséquents du repas fromages de la semaine passée, nous avons récidivé : fromages, céleri-branche, noisettes fraîches.

Jeudi soir, nous avons été manger avec des amis au restaurant libanais « pop-up » (la grande mode, ces restaurants et boutiques pop-up) du Montreux Palace, le Lémantine (qui a remplacé le restaurant nikkei dont j’ai parlé dans cet article, le Nikkei Nine). Nous avons pris le menu dégustation. Nous en avons eu, de manière assez amusante, des opinions très diverses : nos amis ont aimé les entrées mais trouvé le reste bof (ils ont émis une note de 3/5), mon homme a trouvé ça génial (note 5/5), et moi, ben… entre deux. J’ai trouvé très bon, mais sans le petit truc en plus qui me ferait revenir (note : 4/5, puisqu’on quantifie !).







Vendredi soir, j’ai improvisé un sauté de viande d’agneau hachée, aubergines, oignons et courgettes au zaatar. Pas très esthétique, mais délicieux.






















































































































